1. Montrer que le diabète de type 2 a bien une composante familiale mais que sa transmission n’est pas conforme aux prévisions si on suppose qu’un seul gène est en jeu (document 1). |
Comprendre le lien entre les phénomènes naturels et le langage mathématique.
- Mettre en évidence la composante familiale.
- Possibilité d'utiliser le cours.
- Envisager successivement le cas d’un phénotype récessif puis celui d’un phénotype dominant.
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Appuyer le raisonnement sur des échiquiers de croisement.
- Réponse argumentée.
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2. Identifier la part relative des facteurs non génétiques étudiés dans le développement du diabète de type 2 (document 2). |
Recenser, extraire et organiser des informations
- S’appuyer sur des données numériques.
- Réponse argumentée. |
3. Montrer que la mutation à l'origine du cancer du poumon est une mutation somatique (document 3). |
Manipuler (une base de données numérique)
- Pourquoi peut-on dire que la mutation étudiée est une mutation somatique et non une mutation germinale.
- Localiser et identifier la mutation du gène p53.
- Déterminer la conséquence de cette mutation sur le phénotype moléculaire. |
4. Montrer que la mutation à l'origine du cancer du poumon suppose l'influence d'un facteur environnemental. |
Recenser, extraire et organiser des informations
- Identifier le facteur environnemental susceptible de provoquer une mutation du gène p53 (document 4) et indiquer son mode d’action (document 5).
- Commentpeut-on passer du document 5 à la mutation identifiée dans le document 3 ?
- Réponse argumentée faisant appel à des connaissances. |